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Mon Permis de conduire : apprentissage, échec, déclic, comment j’ai appris de mon premier examen

Après 56 heures de conduite, un premier échec, et beaucoup de doutes, j’ai fini par décrocher mon permis de conduire début février. Dans cette série de 3 articles, je vous raconte ce long chemin, semé de peurs, de découvertes, de force et de confiance retrouvée. Si toi aussi, tu vis cette aventure, j’espère que mon expérience pourra t’apporter un peu de soutien et beaucoup d’espoir.


Passer le permis, c’est souvent un long chemin. Pour moi, ça a été un parcours de 60 heures (56h de pratiaues, 4h d’examen), un premier échec, un vrai coup dur… et un déclic. Cet article, c’est le récit d’un apprentissage lent, parfois frustrant, mais incroyablement formateur. Et surtout, c’est la preuve que rater une fois, ce n’est pas la fin — c’est généralement le début d’un vrai changement.

🚘 Mon parcours de formation : 60 heures d’apprentissage et de patience

J’ai appris à conduire avec l’auto-école en ligne En voiture Simone, une plateforme qui propose un enseignement moderne et flexible. Il propose la liberté de choisir ses horaires de conduite et le lieu des cours selon mes disponibilités, sans avoir à jongler avec des plannings imposés.
E c’est aussi un accompagnement humain malgré le côté digital : mon moniteur est resté le même du début à la fin, ce qui m’a offert une continuité d’apprentissage stable et un suivi personnalisé.

Mon forfait initial comprenait 30 heures de conduite (financées grâce à mon CPF), que j’ai ensuite complétées par un pack de 20 heures supplémentaires, puis encore 10 heures après mon premier examen raté. En tout, 56 heures de pratique (4 heures réservé à l’examen), avec une régularité d’environ 2 heures par semaine les premiers mois, puis 1h lors de la phase de perfectionnement.

🧠 Apprendre à conduire : entre peur, déclics et progression

J’ai commencé par le code de la route, que j’ai mis environ 2 mois à apprendre. J’ai échoué une première fois, mais réussi au deuxième essai, en septembre 2023. Dès cette étape franchie, j’ai pu commencer les cours de conduite.

Les premières heures ont été douces. On a pris le temps : apprendre à gérer le volant, les pédales, l’embrayage.
J’avais une grosse peur de la vitesse, alors mon moniteur m’a très vite emmenée sur l’autoroute. Une manière directe de désamorcer la peur. Aujourd’hui ? J’adore rouler vite (dans les limites autorisées, bien sûr 😉).

Mais ma vraie bête noire, ça a été les ronds-points. Il m’a fallu plus de 10 heures de pratique spécifique rien que pour comprendre les trajectoires, les placements, les priorités. Je ne les aime toujours pas… mais je les maîtrise !

🧱 Le mur mental : quand la frustration prend le dessus.

Après quelques mois, j’ai ressenti un palier de stagnation. Je continuais à prendre des cours, mais j’avais l’impression que rien n’avançait. J’étais frustrée, fatiguée, mentalement à bout. Je pensais sérieusement à abandonner.

Mais mon entourage et mon moniteur ont été d’un soutien incroyable. Toujours bienveillants, rassurants. Grâce à eux, j’ai tenu bon… jusqu’à l’annonce de la date de mon premier examen.

🚨 Le premier examen : un échec révélateur

La panique est montée dès que la date a été posée. J’enchaînais les mauvaises séances. Je me sentais totalement dépassée. Et ce que je redoutais arriva : j’ai raté l’examen.

Ce jour-là, malgré un parcours très simple, j’ai accumulé les fautes. Le stress avait pris le volant à ma place. Mais ce moment difficile a été un vrai tournant. Un révélateur. Après ça, j’ai commencé à conduire différemment. Avec plus de concentration, de confiance, de compréhension.

📺 Ce qui m’a aidée à progresser entre les deux examens

Entre les deux passages, j’ai tout revu.
📌 YouTube est devenu mon allié : vérifications du véhicule, placement dans les ronds-points, schémas… quelques chaines que j’ai particulièrement apprécié :
📌 J’ai utilisé des fiches et des contenus de créateurs spécialisés en auto-école :
📌 J’ai refait des exercices mentaux.
📌 Et j’ai continué à conduire avec le même moniteur, qui a été d’un professionnalisme et d’une patience admirables. Il m’a accompagnée le jour de l’examen, ce qui a énormément aidé à réduire mon stress.

💞 Le rôle de mes proches : un vrai moteur

Mon compagnon, ma famille, mes ami·es… tous ont joué un rôle essentiel dans cette réussite.
Ils m’ont écoutée, encouragée, soutenue. Ils ont cru en moi quand moi je doutais. Sans eux, je ne serais peut-être pas allée jusqu’au bout.

« Rater, ce n’est pas échouer. C’est comprendre, et recommencer avec plus de lucidité. »

  • 👉 Dans le prochain et dernier article de cette série, je vous partagerai toutes mes méthodes (et elles sont nombreuses !) pour apprendre à gérer mon stress le jour de l’examen et réussir enfin mon permis.

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