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Self Care - réflexions - bien-être

Pourquoi le rose ? – Une année pas comme les autres

Pourquoi le rose ? Pourquoi le mois d’octobre ?
Tout cela quand la maladie tant redoutée arrive, n’a plus vraiment d’importance. Ces 12 derniers mois firent difficiles et compliquer. J’ai essayé tant bien que mal de garder ma joie et ma bonne humeur, afin de ne pas trop laisser paraître tous les sentiments contradictoires que je pouvais ressentir. Ces sentiments je les ai refoulées une bonne partie de cette année.

En réalité les épreuves ont débuté par le décès de ma tante juste après mon Mariage. Je venais de vivre une année éprouvante qui avait eu un dénouement parfait, un mariage parfait. Et ce jour m’aide et me rappelle que des journées parfaites existent et qu’elles reviendront.

Je voulais partager avec vous cette histoire, notre histoire, celle de ma mère, ses cancers et moi. Mais, je ne sais pas si je trouverais les mots justes. Si j’arrivais à transmettre et à partager ce que j’ai tiré de toute cette épreuve de manière positive. Car oui malgré la terreur que cela peut être et le chamboulement terrible que cela apporte dans une vie. Cette épreuve est positive, car ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts. Car c’est le seul moyen d’avancer et de continuer à vivre. Et parce que c’est notre devoir de continuer pour ceux qui sont déjà partis.

Je vous parlerais de comment je l’ai accompagné tout au long de cette épreuve, comment j’ai vécu ça, les différentes phases par lequel je suis passé et comment j’ai essayé de bien faire. Cet article ce partage je l’illustre pas une tenue, une tenue rose, bleu, jaune, une tenue aux couleurs de la joie et de l’espoir, car même si elle n’est pas encore déclarée comme « guérie », nous ne pourrons le savoir que dans 5 ans. Aujourd’hui toutes les tumeurs ont été enlevées et on apprend à vivre avec l’après. Avec tout ce qui a changé en nous.

Pourquoi le rose ? - Une année pas comme les autres

La première phase fut la peur de l’inconnue.

En réalité toute cette histoire à commencer il y a 1 an et demi, quand ma mère a eu une sorte de nœud qui s’est formé dans son sein gauche. Par peur, elle n’est pas allée consulter de médecin durant 6 mois, puis suite au décès de ma tante, ça à provoquer comme un électrochoc, et mes deux parents sont allés faire un bilan de santé au mois d’octobre 2016. Et c’est là que la vraie peur s’est installée. Comme j’étais en voyage de noces à ce moment-là, mes parents ont attendu mon retour pour me prévenir que ma petite maman allait devoir passer par une batterie d’examen dont une biopsie du nœud, pour savoir s’il était cancéreux ou non.

Si j’ai un premier conseil à vous donner, c’est de toujours surveiller votre poitrine, dès le plus jeune âge. Aujourd’hui les cancers du sein arrivent à des jeunes femmes, de moins de 30 ans, et dans ce cas-là, ils sont souvent fatals, s’ils ne sont pas pris en charge assez tôt. Au moindre signe, n’attendez pas, et allez voir votre médecin, passer une mammographie. Ne laissez pas votre peur agir et dépasser la raison. Un cancer du sein pris à temps peut facilement être sauvé.

La phase la plus étrange pour moi a été le diagnostic, en novembre, nous avons donc appris qu’il y avait deux tumeurs dans son sein gauche. Et au moment où je l’ai appris, ma réaction fut étrange. Je n’ai pas pleuré, je suis resté impassible, je pense qu’il m’a fallu plusieurs semaines avant de réaliser ce qui était en train de se passer. Je me suis un peu coupé de mes amis, je n’avais plus le temps dépenser aux autres comme je l’ai toujours fait. Ma seule préoccupation c’était elle. Je devais être forte, je devais résister et ne surtout pas sombre dans la tristesse ou la mélancolie, je me le suis  interdit. J’ai continué à rire, je me suis raccroché au blog, et j’ai laissé en suspension tous mes autres projets.

Par chance nous sommes tombées sur des équipes médicales au top, et l’opération pour enlever les tumeurs fur programmer pour le mois de décembre. Par chance, il n’y a pas eu d’ablation, les tumeurs étaient petites, et surtout elles ont été prises en charge à temps. Aucune cellule cancéreuse de circulait dans son sang.

Pourquoi le rose ? - Une année pas comme les autres

L’après-opération est le moment qui m’a le plus touché, je ne rentrerais pas dans le détail de notre quotidien chambouler. Je vous parlerais juste des émotions. Quand on vit une telle épreuve, en personne ou de manière collatérale, on comprend plein de choses. J’ai compris l’importance d’être solidaire entre femmes. J’ai compris à quel point cette société est stupide d’encourager la jalousie et la concurrence entre femmes, en supprimant le sentiment d’entre aide et de sonorité, le lien féminin entre sœurs l’équivalent de la fraternité qui elle est à la base destinée aux hommes.

J’ai compris à quel point cette maladie, ce cancer en particulier touchent ce qu’il y a de plus intime et vulnérable en nous. Car il touche le symbole de notre féminité. La poitrine, notre poitrine est sans doute une des parties les plus intimes chez une femme, elle fait partie des attributs qui font son essence. Quand elle est née femme et qu’elle se sent femme. Et j’ai compris que ça n’arrive pas qu’aux autres, que je suis une femme à risque et mes sœurs également, tout comme beaucoup de mes amies. Mais j’ai aussi compris que si on fait les bons gestes ce n’était pas forcément une fatalité.

Mais là, cette année, a décidé de nous mettre à l’épreuve, et Gacé aux radios réaliser suite à l’opération de ces deux tumeurs, un troisième cancer isolé a été trouvé dans le poumon gauche de ma chère petite maman. Et nous l’avons appris le lendemain de l’Opération du sein, et ce fut un Choc.

C’est là que j’ai craqué pour la première fois, seule à la maison, quand mon père s’est précipité à l’hôpital suite à la nouvelle. Notre Noël 2016 fut spécial, rempli d’espoir, et de crainte pour ma part. J’étais épuisée et j’essayais encore de tenir bon. Mais à ce moment-là pour la première fois pleurée dans ses bars. J’ai eu honte de craquer devant elle. Elle qui vivait toutes ces horreurs et qui était si forte, même quand elle pleurait dans mes bras.

En janvier nous sommes reparties pour une deuxième opération, beaucoup plus lourde après des dizaines d’examens, de visites médicales, de soins, de visite chez le kiné. Elle fut beaucoup plus lourde et plus dévastatrice. Une opération du poumon ce n’est vraiment pas évident. Mais elle a tenu bon. Un mois plus tard, elle arrivait à marcher un peu et à avoir des activités correctes. Enfin tout ça se fut avalé le mois de mars et l’arrivée de la chimio.

La phase la plus difficile lors d’un cancer des deux points de vue, c’est le traitement. C’est là que le corps, et l’humeur changent pour le malade. Tout est inquiétant, car il y a des petits détails dont personne ne parle en public.

Par exemple, le brunissement de la peau sur les zones irradier lors des radios thérapie, ou bien encore la douleur que provoques la perte des cheveux suite à la deuxième session de chimio lourde. On nous dit que l’après-chimio est difficile, mais on ne nous dit pas ce ça risque d’immobiliser le patient plusieurs jours, où il n’a plus assez de force pour se déplacer correctement. Il y a les nausées, mais il faut tout de même manger. Les bonbons à la menthe et le citron sont de bons alliés qui permet d’atténuer un peu les nausées par moment, mais il ne les supprime pas complètement.

Le traitement à pris fin début juin, et tous les trois mois il y a des petites phases de rechute ou le corps désormais élimine petit à petit tout le poison qui lui a été administré pour traiter le cancer. Car oui, même les médecins nous le disent, la chimio est un poison très violent qui ne laisse pas le corps indemne. Lors du contrôle au mois d’août, nous avons reçu une belle nouvelle après toutes ces épreuves et ces phases le corps de ma Maman est sain, il n’y a aucune métastase ni de nouvelles tumeurs qui se baladent. Tout a été enlevé, il nous faut désormais passer par différents contrôles tous les 6 mois lors des 5 prochaines années avant de savoir si tout est vraiment rentré en ordre ou non. Mais nous avons beaucoup de chance, car tout a pu être pris et traité à temps. Malgré les douleurs, et le corps affaibli de maman, la vie reprend son cours tout doucement.

Pourquoi le rose ? - Une année pas comme les autres

De mon côté, ce n’est que récemment, que je me suis vraiment rendu compte, de l’ampleur des dégâts que j’ai subis. Je ne l’ai pas trop laissée paraître, mais en réalité ce fut très difficile. J’ai refoulé mes émotions à m’en rendre malade. J’ai pris des kilos émotionnels sans manger, mon corps sous l’effet du stress et de la retenue émotionnelle à emmagasiner pour se protéger. J’ai refusé d’admettre que tout cela m’avait chamboulé durant des mois. Je disais, « c’est dur, mais moi ça va, je ne suis pas malade, je n’ai pas besoin d’aide, je dois soutenir et aider ».

J’ai abandonné bien des navires, car j’ai aussi pu me rendre compte des personnes qui ne sollicitaient ma présence que lorsqu’elles avaient besoin d’un service. Mais, je me suis aussi rendu compte des personnes qui étaient prêtent à me soutenir quoi qu’il arrive. Je me suis fait de nouvelles amies fortes qui sont là pour moi, quoi qu’il arrive. Et les liens que j’avais avec mes meilleures amies d’enfance se sont renforcés.

J’ai été maladroite à bien de reprise, et bien souvent mal compris. Mais je ne regrette aucune de mes décisions, et aucun de mes choix. Cette année m’a changé, elle m’a permis d’apprendre à accepter que tout n’aille pas toujours bien. Que craqué n’est pas une honte. Qu’on peut soutenir un être cher, sans être superman.

J’ai appris que la bienveillance ne se trouva pas toujours dans le don inconditionnel de soit à l’autre, et que je dois choisir mes batailles. Que mes rêves, et mes projets personnels sont miens et qu’ils doivent être mes priorités. Je ne dois plus laisser les autres ce les approprier.

J’ai appris que, je ne perds rien à être moi-même, ça m’a permis de m’éloigner des personnes toxiques, de mettre au clair des relations brumeuses et de ne plus souffrir à la place des autres. Ça m’a permis de lâcher prise.

Pourquoi le rose ? - Une année pas comme les autres

Et surtout j’ai appris à essayer de voir la petite lueur d’espoir qui peut se présenter à nous-même, dans les moments les plus sombres. À apprécier à rire et à aimer la vie même quand elle est triste et qu’elle semble compliquée. C’est ce qui m’a aidé à tenir, et à aimer la vie encore plus qu’avant. Car elle est précieuse, chaque moment que nous vivons et les personnes que nous aimons et avec qui nous les partageons sont précieux.

Il y a une dernière petite histoire liée à cette année que je ne vous ai pas encore raconté, et elle est liée à mes cheveux, je vous en parlerais dans mon prochain article. Car mes transformations capillaires sont très souvent lie à mes émotions.

Merci à ceux qui sont arrivés jusqu’au bout de ce témoignage. C’est un témoignage, une thérapie, nécessaire à mon processus de guérison et d’acceptation de toutes ces émotions qui m’ont traversé. De tout ce que j’ai pu apprendre. Je voulais le partager avec vous, qui sans le savoir par vos mots et vos commentaires m’ont aussi aidé. Je me suis sentie soutenue et utile. Merci de votre présence et de me lire, de me suivre dans mes aventures, de soutenir Mlle Botanik qui ne serait jamais née sans cette épreuve. Ma mère est une force, c’est ma force et elle m’a donné son accord pour que je vous parle de notre histoire, car plus il y aura de témoignages, plus on pourra s’entre aider.

Pourquoi le rose ? - Une année pas comme les autres

Pourquoi le rose ? - Une année pas comme les autres

Look : pull, chemise, jupe, chaussures : BlanchePorte 

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Pétillante et pleine de vie, je suis la maîtresse des lieux, et vous souhaite la bienvenue.

22 Comments

  • Djahann
    18 octobre 2017 at 19:27

    Quel bel article ! Tu as été courageuse d’affronter tout ça, mais en même temps, qui pourrait fuir devant une maman qui souffre ? J’ai connu de loin la maladie avec ma tante (qui n’est plus là) car j’étais toute jeune et à 1000 km d’elle, mais c’est une épreuve qui a chamboulé toute la famille.
    Il y a un an, j’avais une boule dans un sein. J’avais rv chez une gynéco que je ne connaissais pas et je lui ai demandé de contrôler. Et bien cette conne était tellement obnubilée par mon surpoids (elle ne m’a parlé que de ça et de régimes pdt l’examen) que soit disant elle n’a rien senti ! Du coup, je suis allée voir mon médecin généraliste qui m’a tout de suite dit que oui j’avais une grosse boule et plusieurs petites. Qu’elle pensait que c’étaient des kystes mais qu’il fallait que je fasse une échographie rapidement pour qu’on en soit sûres. Heureusement, ce ne sont que des kystes. Donc avec un mauvais médecin, on peut aussi passer à côté de qq chose de grave.

    Quoi qu’il en soit je suis très heureuse que ta maman aille mieux et je te souhaite à toi aussi de souffler un peu et de retrouver de la sérénité.

    Reply
    • Ninaah Bulles
      24 octobre 2017 at 16:03

      Merci beaucoup, pour ces mots. Malheureusement il y a beaucoup trop de médecin qui prend a la légère les premiers symptômes, ou qui ne veuillent pas écoutée le patient. C’est terrible et ça peut mal tournée.
      Heureusement tu es saine et sauve et c’était des kystes bénins, ça a du être difficile, et effrayant.
      Je te souhaite une belle journée, plein de bisous.

      Reply
  • Béné's Addict
    18 octobre 2017 at 20:21

    Je n’ai pas osé te demander comment allait ta maman , je suis contente qu’elle aille mieux . Il faut maintenant que tu prennes soin de toi 🙂

    Reply
  • Audrey Scandelin
    18 octobre 2017 at 21:12

    Tu es tellement belle Ninaah!! Je ne te parle pas de toi physiquement mais de toi humainement!! Ta générosité par rapport à tes émotions est si touchante. J’ ai la gorge serrée en lisant ton article parce que je te comprends, je ressens également cette peur depuis presque deux ans (mon papa est malade mais il n’ y a pour le moment pas de diagnostic précis, il a failli mourir deux fois mais une bonne étoile veille sur lui…) et en même temps Oui la vie continue et l’ espoir se fait une petite place. Ta force est un don, ton courage et ta bienveillance aussi. Ta maman peut être fière de toi.
    Merci pour cet article si personnel mais aussi Merci de rappeler qu’ il faut surveiller sa santé et notamment ses seins quand on est une femme.
    Continue sur cette belle lancée mais n’ oublie pas que parfois il faut aussi savoir craquer pour mieux rebondir.
    Je t’ embrasse fort ainsi que ta maman à qui je souhaite mille belles choses à venir.
    Audrey

    Reply
    • Ninaah Bulles
      24 octobre 2017 at 15:49

      Merci infiniment pour ces mots qui me touchent vraiment beaucoup. Je te souhaite beaucoup de courage avec ton papa, et j’essaye de me laisse le droit de craquer depuis quelques mois, et ça aide à avancer.
      Je t’embrase fort aussi <3

      Reply
  • stellaa1180
    18 octobre 2017 at 21:45

    C’est un très beau témoignage! Tu a été très forte et ta maman aussi. Ca n’a pas du être facile.
    Mon papa est mort d’un cancer il y a 3 ans, bientôt 4. On voit la vie différemment après la maladie et/ou la mort.
    Je n’était pas là pendant sa maladie alors je n’ai pas vécu ce que tu as vécu mais ma soeur oui. C’est très touchant ce que tu dis.

    Je souhaite un bon rétablissement à ta maman et que tu te remettes de ces émotions, ce n’est pas facile.

    <3

    Reply
    • Ninaah Bulles
      24 octobre 2017 at 15:45

      Mes sentiments à toi et ta famille. Cette maladie est terrible, et quand on là dans la famille de Facon ancrée on sait depuis toute petite qu’elle va revenir chez un autre de nos êtres chers. Merci pour ces mots qui me réconfortent. Je t’embrasse <3

      Reply
  • Sylvie;-)
    18 octobre 2017 at 22:21

    Merci pour ce témoignage sincère mais pas larmoyant.et quelle bonne idée de le coupler à un look si féminin et si gai.bisous à ta maman et à toi !

    Reply
    • Ninaah Bulles
      24 octobre 2017 at 15:43

      Merci beaucoup Silvie, je suis heureuse d’avoir réussi à transmettre cette expérience sans tomber dans la plainte et le désespoir 🙂

      Reply
  • Sochic Sogirly
    18 octobre 2017 at 23:14

    Hello, ton article m’a profondément touché.. le cancer.. satanée maladie qui a emporté ma tante.. Tu as été courageuse et je te félicite, je ne sais pas si j’aurais eu ta force a ta place. Plein de courage et de force à toi et ta maman.
    Bise.
    Audrey

    Reply
    • Ninaah Bulles
      24 octobre 2017 at 15:41

      Merci pour ces mots, ça demande de la force, mais sans mon mari, je ne sais pas si j’aurai aussi bien tenue. Et a vrais dire je pensais en être incapable avant de le vivre. Mes sentiments pour ta tante. Et encore merci <3

      Reply
  • Olivier Wartowski
    19 octobre 2017 at 02:33

    Je suis effondré… votre année ressemble très étrangement à la mienne. vous avez su mettre les mots sur ce que je retenais en moi depuis tout ce temps et par chance j’ ai enfin réussi à pleuré. MERCI.

    Reply
    • Ninaah Bulles
      24 octobre 2017 at 15:37

      Oh Olivier, je suis de tout cœur avec vous. C’est difficile de faire face à ses émotions négatives dans une telle situation, et tout laisser sortir on somatise, on retient tout et on agit de manière étrange tant que ce n’est pas sorti. Si besoin je suis las, et je comprends ce que vous avez vécu. Pleins de courage à vous aussi.
      et toute mon amitié.

      Reply
  • Gilberte
    19 octobre 2017 at 08:35

    Magnifique ce billet

    Reply
  • Anais Penelope
    19 octobre 2017 at 12:09

    Quel bel article, touchant et plein d’espoir ! Je vous admire toi et toute ta famille, faire partie de votre entourage est une chance pour moi car vous êtes si inspirants par votre gentillesse et votre bienveillance les uns envers les autres et envers autrui. Vous avez vécu des expériences plus que difficiles cette année cependant quand je vous vois tous vous avez toujours le sourire et ça c’est beau ! Je t’embrasse toi et toute ta famille et vous envoie toute mon amitié <3 Je t'aime Ninah !

    Reply
    • Ninaah Bulles
      24 octobre 2017 at 15:34

      Merci Anais, je t’aime fort aussi, merci d’avoir été la et d’être la, ton amitié ma beaucoup aider tout au long de cette épreuve. je t’embrasse fort !

      Reply
  • Crystila
    20 octobre 2017 at 01:27

    Je te souhaite pleins de courage pour la suite et pour ta maman. Heureusement, c’est une maladie que l’on soigne bien à l’heure actuelle même si le traitement est très néfaste pour le corps.
    bises

    Reply
    • Ninaah Bulles
      24 octobre 2017 at 15:32

      merci beaucoup, Heureusement nous sommes a une belle epoque ou la science permet de sauvée beaucoup de vie de ce type de maladie <3

      Reply
  • Sophie
    24 octobre 2017 at 09:56

    Magnifique billet plein de courage, de force et d’émotion. Je souhaite le meilleur à ta maman. Je vous envoie plein d’ondes positives !
    Quant à ta tenue, elle est adorable, à croquer, tu es ravissante 🙂
    Belle journée automnale 🙂

    Reply

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